COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Pour diffusion immédiate
Rimouski, 2 décembre 2024
AUTOÉDITION DU LIVRE « JOURNAL D’UNE CINÉASTE-VIOLONEUSE »
LANCEMENT DE CAMPAGNE SUR LA RUCHE BAS-SAINT-LAURENT
Rimouski, 2 décembre 2024. L’artiste Stéphanie Lessard-Bérubé lance officiellement le 9 décembre prochain une campagne de financement social pour imprimer 100 copies d’un livre souvenir qui fera connaître 5 violoneux du patrimoine musical du Bas-Saint-Laurent.
Lors de la scénarisation de son prochain film « Corps à corps musicaux », la cinéaste-violoneuse s’est fait prendre au jeu de l’enquête. Depuis 2023, elle a reconstitué les portraits des 5 violoneux décédés dont les airs seront revitalisés par le film. Comme ces biographies ne sont pas le sujet de l’oeuvre, l’artiste a ressenti le besoin de ne pas les laisser dans l’ombre. L’initiative a évolué naturellement vers un manuscrit pour redonner les récits de vie à la communauté. Avec des photos d’archives familiales, des transcriptions musicales, des textes poétiques et une carte géographique spéciale, ce livre souvenir est une ode à la tradition musicale de la région et à la place de la culture dans nos vies.
À propos de la campagne
L’objectif financier est de 8000$. Ce montant couvre les services d’édition et d’impression, les frais de la campagne et les taxes. Il offre aussi un support financier à l’artiste. Plusieurs contreparties permettent d’acheter une copie du livre en prévente. Certaines ont des bonus comme une dédicace ou un album de l’ancien groupe rimouskois La Baratte à Beurre. D’autres contreparties misent sur le partage et la solidarité. Le « super don » soutient la distribution de copies à des informateur·trices et collaborateurs bénévoles ainsi qu’à des organismes communautaires comme les sociétés d’histoire et de généalogie. Quelques expériences sont également proposées : des tête-à-tête et des conférences favoriseront les rencontres et les discussions. Une pré-campagne se tient du 2 au 8 décembre 2024.
À propos de Stéphanie Lessard-Bérubé
Stéphanie Lessard-Bérubé explore le changement social, en s’intéressant aux relations entre l’art, la culture et le patrimoine. Évoluant du cinéma direct au cinéma d’intervention sociale à une approche plus hybride avec le genre expérimental, l’artiste cherche à travers chaque film une occasion de changement social. Après avoir travaillé sur la musique traditionnelle comme un objet ethnographique et un outil d’intervention sociale au Burkina Faso puis au Québec, elle commence l’apprentissage du violon traditionnel. Présentement, elle puise dans son parcours de violoneuse des films qui exploitent les idées d’osmose, de mimétisme et d’expression.
Pour en connaître davantage sur le projet, visitez la page de la campagne sur La Ruche Bas-Saint-Laurent ainsi que la page Facebook du film Corps à corps musicaux.
